Vous ne savez pas comment répondre à un refus de candidature ?...
Pas de problème, Tonton Bernard vous offre ce modèle de lettre
"prêt à l'emploi" !
La vie est trop courte pour être petite
Dans une période ou tout le monde donne son avis sur tout, je ne vais tout de même pas me gêner pour faire moi aussi mon éditorialiste en pantoufles, en vous faisant par de mes coups de cœur (…ou de sang, c’est selon).
C'est tellement vrai...
Dans certains coins particulièrement reculés de la Normandie profonde, on peut encore trouver des clôtures de champs agrémentées d’ornements bizarres.
En regardant de plus près, on peut y reconnaître des cadavres de rongeurs. En train de pourrir, en un parfait alignement. Ceux-ci sont habilement épinglés par la peau du dos, à même les barbelés. Continuer la lecture de « Souhaitons-nous VRAIMENT l’autonomie de l’autre ?… »
J'ai toujours été admiratif du travail des interprètes et autres traducteurs. Mais ce qui force toujours mon admiration dans des proportions inimaginables, c'est une prestation de traduction simultanée.
Peut-être est-ce l'ancien prof d'anglais (j'ai arrêté ces fonctions en…1986 !) qui parle ici, ou tout simplement un amoureux du langage sous toutes ses formes, mais c'est ainsi. De nombreuses performances de traduction simultanée me laissent pantois d'admiration, c'est ainsi. Continuer la lecture de « Traduction simultanée (les traducteurs interprètes à l’honneur) »
C'était à Aix, hier, rue Bédarride, peu avant 16 heures. Une commerçante accorte m'avait offert un petit échantillon de glace au yaourt, que je n'avais pas eu le cœur de lui refuser, surtout qu'une dame (âgée, plutôt chic) qui passait par là m'encourageait à accepter (oui… il arrive souvent que des inconnus m'adressent la parole dans la rue !).
Bien embêté avec mon mini pot de glace (étant à quelques encablures du cabinet de ma diététicienne, j'aurais sans doute assez mal digéré ce présent, pour d'obscures et psychosomatiques raisons…), j'entrepris, quelques secondes plus tard, de l'offrir à la dame chic et âgée.
Celle-ci refusa aimablement mais, décidément bien en verve, elle me suggéra d'offrir ma glace à un SDF qui faisait la manche, assis sur une marche tout près de nous.
Le SDF refusa aussi, et c'est là que la dame chic et âgée me fit sa sortie mémorable "Eh oui, que voulez-vous, les pauvres n'aiment que les cartes bleues !..."
J'ai trouvé ça du plus haut comique… Au-delà du côté… disons pour le moins discutable d'une telle sentence attribuée de manière si définitive, j'ai trouvé que c'était là un signe flagrant (à mes yeux) de deux choses concomitantes :
Je n'ai après tout rien contre les premières, et j'avoue avoir un très fort petit faible pour les secondes !
Surtout que la dame disait ça avec l'œil qui pétille… ce qui change tout !
Une vieille dondon mal embouchée eut-elle dit la même chose, je lui aurais volé direct dans les plumes !
Bien à vous,
Bernard
Un homme politique aurait déclaré un jour que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. Que dire alors des vœux de nouvel an qui, après tout, n’engagent personne ? Pourtant, le moins qu'on puisse en dire est qu'ils ont la vie dure ! Continuer la lecture de « Meilleurs voeux à tous »
Le 07.10.2011, à 07:36, Hubert Huertas (dont je vous ai parlé dans un article précédent) nous lisait sur l'antenne de France Culture ce texte très bien senti , à mes yeux fort judicieux, même que "plus d'actualité que, ça tu meurs" :
« L’économie se venge toujours », écrivait Raymond Barre dans son livre « l’expérience du Pouvoir » publié chez Fayard en 2007. L’ancien Premier Ministre racontait comment il avait découvert que la politique était punie quand elle ignorait le réel. Faites des promesses non budgétées, et chaque euro investi dans vos discours en coûtera vingt fois plus au moment de payer la note. Continuer la lecture de « Le raisonnable et l’insupportable. Un texte d’Hubert Huertas »
Je viens de perdre un ami très cher. Il s’appelait Philippe Supera, il jouait un petit peu de la guitare (Jasmine, sa Takamine…), était branché photo, mais c’était surtout un as de la programmation, d’internet, d’un autre monde possible et du cœur gros comme ça. Continuer la lecture de « Philippe est parti… »
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été complètement indifférent au football, et en même temps toujours au milieu des footeux.
Cela a commencé à l’école… Les instits, et plus tard les profs de gym, quand ils voulaient nous faire plaisir et avoir la paix pour une heure, nous disaient « Bon, ben vous n’avez qu’à faire un foot ! ».
A ce moment-là, tous mes camarades sautaient de joie, et moi je pensais « tu parles d’une poisse »… Continuer la lecture de « Un match de foot vu par quelqu’un qui n’aime pas ça… »
Je viens de terminer la lecture d'un véritable petit bijou de drôlerie qui "sans avoir l'air d'y toucher" met le doigt dans le mille sur...bien des choses. Il s'agit de l'histoire de l'arche de Noé, mais complètement "revisited" d'une manière on ne peut plus azimutée, on vous aura prévenus.
Je ne résiste pas au plaisir de vous retranscrire ici un extrait de la fin du livre...